CHAISE À LA CAPUCINE ARTISANALE.

Quelquefois, de plus en plus rarement, on nous demande de rajeunir et rempailler le siège d’une Chaise à la Capucine artisanale.
La photo illustre une chaise qui est maintenant terminée afin de devenir un élément de décoration dans une maison moderne.

Chaise à la Capucine artisanale.

Chaise à la Capucine artisanale.

Celle-ci était encore solide, sachant que ces sièges étaient assemblés sans vis, clous ni colle.
Tous les éléments ont été faits à la main ; les barreaux sont faits avec des branches d’arbre, et les montants semblent avoir été
découpés également à la main.
Elle était badigeonnée de nombreuses couches de peinture de couleurs différentes.
Maintenant nettoyée elle a été recouverte de teinture rouge acajou, selon les souhaits de la propriétaire.
Le paillage est fait de corde de papier kraft fabriqué pour cet usage.
Finalement le paillage a reçu une couche d’huile d’abrasin.

FLEURS DU POMMETIER MAKAMIK.

Le site Sous les Pins est quasi forestier, mais il accueille plusieurs pensionnaires plus ou moins exotiques ; des plantes, des fleurs, des arbres.

Les Pommetiers Makamik sont de ceux-là ; ils sont une créature Canadienne ;  ayant été développés quelque part dans les plaines de l’Ouest Canadien.

Le vocable peut sembler fort exotique ; il découle de la langue des Amérindiens Algonquins, signifiant « Castor Boiteux » ; Ils auraient donné ce nom à cause de la forme du Lac Makamik
C’est une petite municipalité à plus de 150 kilomètres au nord de Rouyn-Noranda, vivant au rythme des scieries et de l’exploitation forestière.
La population serait de l’ordre de 2 habitants au kilomètre carré ; alors,  rien pour cultiver les affrontements philosophiques.

Il y avait sur la propriété cinq pommetiers l’an dernier ; il y en a maintenant quatre ; les pics ayant dénudé un pommetier de son écorce au cours du dernier hiver.

SOUS LES PINS – VRAIMENT ?

Le vocable « Sous les Pins » peut sembler utilisé à l’excès, pourtant c’est bien ce qui se produit dans mon petit domaine.

Ainsi, dernièrement, mon petit-fils Alexandre ainsi que son père Roger sont venus faire un entretien méthodique et nécessaire à quelques grands pins dont certains sont centenaires.