Les bûches étant coupées à leur longueur finale, il faut encore les fendre afin que le processus de séchage puisse se faire dans une période raisonnable. Le bois frais coupé est de couleur pâle et on peut facilement distinguer le bois de cœur au centre, le bois de sève vers l’extérieur et en périphérie l’aubier et finalement l’écorce ; à ce stade la bûche est tout à fait solide et ne présente aucune fissure.
Pour réussir le séchage du bois, il faut le corder soigneusement afin que les rangées ne s’effondrent pas ; idéalement il faut faire en sorte que le bois ne touche pas au sol ; Une couverture imperméable est également préférable afin de le protéger de la pluie, toutefois on ne doit pas envelopper les rangées, ce qui éviterait la sortie de l’humidité et retarderait grandement la maturation du bois. Il faut préférer un site exposé au vent et au soleil. Si le bois a été coupé durant l’hiver alors que la sève est quasi absente du tronc, une année de séchage devrait suffire. Il faut toutefois 2 ou 3 ans au chêne et aux autres bois tanniques afin que le tanin soit éliminé avant de penser l’utiliser.
Le bois convenablement séché est devenu de couleur foncée et les extrémités des bûches montrent des fissures radiales.
Oui Margaret, ce serait bien d’avoir cette confirmation ; je crois me rappeler également une photo de ton mari fendant des buches ainsi qu’une autre image de l’appareil dont tu te sers pour assembler les fagots ; ces photos pourraient servir à produire un prochain blog ; merci pour le témoignage.
Exact – j’ai pu « juger sur pièces » les fissures radiales hier, en regardant notre dernière pile. Je te passerai des images quand je trouve le temps.
Oui Margaret, ce serait bien d’avoir cette confirmation ; je crois me rappeler également une photo de ton mari fendant des buches ainsi qu’une autre image de l’appareil dont tu te sers pour assembler les fagots ; ces photos pourraient servir à produire un prochain blog ; merci pour le témoignage.