CANNEBERGE-CRANBERRY-ATOKA-ATOCA-GRANDE AIRELLE ROUGE D’AMÉRIQUE DU NORD-SUITE 3.

Les Amérindiens cueillaient la canneberge après qu’elle ait subi quelques gelées ; il leur arrivait également de devoir faire la récolte en canot d’écorce si de grandes pluies innondaient leurs sites de cueillette. Sans doute les gelées conditionnaient les fruits afin qu’ils deviennent desséchés et ainsi plus propices à la préparation de leurs réserves d’hiver, lesquelles contenaient entre autre des fruits, des viandes et poissons fumés-séchés et des graisses animales. Les premiers colons venus d’Europe et séjournant ici en hiver souffraient du scorbut et les Amérindiens les guérissaient possiblement avec des remèdes du genre canneberge car ce fruit renferme des éléments capables de favoriser un mieux dans de tels cas.

On rapporte que la récolte québécoise serait de 73 716 tonnes métriques de fruits frais pour l’année 2013.

Les fruits étant matures, ou la température devenant trop froide, fait que les champs de culture sont innondés d’environ cinquante centimètres d’eau.
Pour faire flotter les fruits, on doit battre l’eau ; ainsi les producteurs utilisent  divers moyens, genre roues à aubes afin de secouer les fruits innondés, ce qui les détache de la plante porteuse.
La masse flottante est regroupée le plus massivement possible et les fruits sont aspirés avec de l’eau afin de les amener vers un contenant ou un camion ; la suite du traitement consiste à séparer les fruits de tous les débrits végétaux qui les accompagnent à la surface de l’eau.

 

PA220015 Atoka 4

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